Grandvaux, Malvaux, au fil de l’eau
Saint-Laurent-en-Grandvaux
Grandvaux, Malvaux, au fil de l’eau
Moyen
4h
46,4km
+1153m
-1153m
Boucle
Embarquer cet élément afin d'y avoir accès hors connexion
Un voyage au cœur de l’eau… De lacs en grottes, cascades et paysages majestueux… Découvrez les trésors cachés de ce parcours dédié à l’eau et la géologie. Traversez les âges, faites un bon depuis les traces des glaciers de l’ère Quaternaire, jusqu'à la vie animée aujourd'hui par la faune de sites naturels préservés.
Cet itinéraire Jurassic Vélo Tours ne dispose pas de balisage sur le terrain.
Soyez prudents ! Compte tenu de la traversée d'un ancien tunnel ferroviaire relativement long et de la durée du parcours, prévoyez une lampe ou un éclairage ainsi qu'une batterie de secours....
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Soyez prudents ! Compte tenu de la traversée d'un ancien tunnel ferroviaire relativement long et de la durée du parcours, prévoyez une lampe ou un éclairage ainsi qu'une batterie de secours....
Les 50 patrimoines à découvrir
- Histoire et Patrimoine
La chapelle de Salave
Située à l’ouest de Saint-Laurent, à proximité de la route de Lons-le-Saunier, la chapelle attire l’œil tant sa forme s’apparente à celle d’un moulin à vent auquel il ne manquerait que les ailes. Il semble que cet édifice fut jadis, le moulin, cité au hameau du Voisinal de Joux. Son toit conique, monté sur roulettes, s’appuyait sur sa tour haute de huit mètres. Un ouragan brisa ses ailes en 1829. Une chapelle fut érigée sur ses ruines dès 1850. Bien qu’en mauvais état suite à un incendie en 1907, elle porta le drapeau français pour marquer la ligne de démarcation lors de la seconde guerre mondiale. À ce jour, elle abrite Marie-Thérèse, une cloche fondue en 1953 par la maison Pacquard d’Annecy. - Histoire et Patrimoine
La gare de Saint-Laurent-en-Grandvaux
La ligne d’intérêt général Andelot-Champagnole fut prolongée jusqu’à St-Laurent-en-Grandvaux, et la gare de la Compagnie PLM fut inaugurée en 1890. La ligne Andelot-La Cluse, qui nécessita l’édification d’un certain nombre d’ouvrages dont 18 viaducs et 36 tunnels, fut terminée en 1912. Cette date correspond aussi à la suppression du transport par diligence entre St-Laurent-en-Grandvaux et St-Claude, assuré par Louis Charnu. (PNRHJ – Collection Patrimoine) - Histoire et Patrimoine
La chapelle de Salave
Située à l’ouest de Saint-Laurent, à proximité de la route de Lons-le-Saunier, la chapelle attire l’œil tant sa forme s’apparente à celle d’un moulin à vent auquel il ne manquerait que les ailes. Il semble que cet édifice fut jadis, le moulin, cité au hameau du Voisinal de Joux. Son toit conique, monté sur roulettes, s’appuyait sur sa tour haute de huit mètres. Un ouragan brisa ses ailes en 1829. Une chapelle fut érigée sur ses ruines dès 1850. Bien qu’en mauvais état suite à un incendie en 1907, elle porta le drapeau français pour marquer la ligne de démarcation lors de la seconde guerre mondiale. À ce jour, elle abrite Marie-Thérèse, une cloche fondue en 1953 par la maison Pacquard d’Annecy. - Histoire et Patrimoine
Les moulins porteurs d'histoire
Apparus au Moyen-Age, les moulins ont d'abord eu pour fonction de moudre le grain. Peu à peu, ils furent utilisés pour extraire l'huile, souffler la forge, marteler le fer, scier le bois, tanner les cuirs... L'utilisation de la roue motrice verticale se généralisa, et les systèmes d'engrenages démultiplièrent la puissance et le rendement. Pour fonctionner, les moulins se contentaient désormais du moindre cours d'eau et s'installaient aux abord des plus petites rivières comme içi et comme au long de la Lemme. (PNRHJ - Collection patrimoine) - Histoire et Patrimoine
Les Moulins porteurs d'histoire
Apparus au Moyen-Age, les moulins ont d'abord eu pour fonction de moudre le grain. Peu à peu, ils furent utilisés pour extraire l'huile, souffler la forge, marteler le fer, scier le bois, tanner les cuirs... L'utilisation de la roue motrice verticale se généralisa, et les systèmes d'engrenages démultiplièrent la puissance et le rendement. Pour fonctionner, les moulins se contentaient désormais du moindre cours d'eau et s'installaient aux abord des plus petites rivières comme içi et comme au long de la Lemme. (PNRHJ - Collection patrimoine) - Lacs et Rivières
Le belvédère du Châtelet
La lemme et ses affluents ont, à cet endroit, fait l'objet d'un vaste chantier de restauration écologique en 2012 pour permettre au marais du Chatelet de retrouver son rôle de régulateur naturel de cours d'eau.
Un panneau d'interprétation explicite les dysfonctionnements hérités des aménagements passés, présente les travaux de restauration et leurs bénéfices, et enfin, quelques espèces de faune et de flore attachées à ce milieu. - Lacs et Rivières
Le belvédère du Chatelet
La lemme et ses affluents ont, à cet endroit, fait l'objet d'un vaste chantier de restauration écologique en 2012 pour permettre au marais du Chatelet de retrouver son rôle de régulateur naturel de cours d'eau.
Un panneau d'interprétation explicite les dysfonctionnements hérités des aménagements passés, présente les travaux de restauration et leurs bénéfices, et enfin, quelques espèces de faune et de flore attachées à ce milieu. - Lacs et Rivières
La Cascade du Saut de la Lemme
Régalez vos yeux de ce joli «saut», une des cascades qui dévalent la Lemme. Longez l’hôtel-restaurant jusqu’au parking pour accéder au point de vue et au panneau d’interprétation (en restant prudent.e avec la circulation automobile). Replongez-vous dans l’histoire du lieu, à l'époque antique des Séquanes, peuple celte, et de l'Empire romain. A la place de l’actuel restaurant se dressait un fort romain qui contrôlait le passage sur la Lemme, par un pont en pierre à huit arches. Observez-bien: on en voit encore les vestiges. Cette voie romaine servait entre autres de route du sel pour le commerce du sel du Jura entre Séquanes et Helvètes, depuis les salines de Lons-le-Saunier, Salins-les-Bains, etc. jusqu’à Saint-Claude et la Suisse. - Milieux naturels
Les pelouses sèches
Le chemin qui monte au pic traverse un temps des végétations clairsemées appelées pelouses sèches. C’est le lieu d’expression d’une diversité végétale propre aux dalles et pierriers calcaires. Outre diverses orchidées, la succession des floraisons de petites plantes est remarquable tout comme la diversité des arbustes tel l’Amélanchier, l’Epine-vinette ou l’Alisier de Mougeot. Le Pic est le point privilégié d’observation du Grand corbeau ou encore du Faucon pèlerin. Ces deux espèces nichent sur les falaises proches. - Point de vue
Belvédère du pic de l'Aigle
«Un escalier confortable avec main courante et quelques marches taillées dans la roche vous permet de culminer à 990m. S’ouvre un large panorama, bien décrit par la table d’orientation. Le Haut-Jura vous apparaît dans son épaisseur, avec les lignes de crêtes successives de sa forêt, jusqu’aux rondeurs dénudées des monts Jura. Au-delà, le Mont Blanc s’invite par le col de la Givrine. Côté combe d’Ain, les reliefs lointains du Mâconnais moutonnent dans un flou bleuté.» Marc Forestier (Édition Dakota; Que Faire dans le Parc naturel régional du Haut-Jura) - Faune
Le Chamois, un alpiniste hors pair
Alors que le Chamois est capable d’avaler 1000 mètres de dénivelé en ¼ d’heure, la majorité des marcheurs s’élèvent péniblement de 1000 mètres en 3 heures! Même un sportif averti aurait besoin d’ une heure pour gravir un tel dénivelé ! C’est grâce à un cœur disproportionné qui assure un débit de sang conséquent, deux fois plus important que chez l’Homme, et, grâce à ses sabots qui se composent de deux onglons, qui peuvent s’écarter pour mieux adhérer aux rochers que le Chamois est un si bon grimpeur. Une cloison entre ses doigts, recouverte de poils, lui évite également de trop s’enfoncer dans la neige, un peu comme nos raquettes. La rencontre avec l’espèce, comme pour beaucoup d’autres, tient du hasard ou de la grande patience! Cependant une fois aperçu, ne bougez plus, il se laissera observer un bon moment. - Point de vue
Belvédère des Trois Lacs
Les couleurs de «lagon» de ces lacs viennent de la formation d’une «beine de craie» sur leur pourtour. Les eaux peu profondes des rives se réchauffent plus rapidement. Phénomène chimique, l’eau «chaude» est moins capable de dissoudre le CO2. Le phytoplancton, plus abondant, «consomme» le CO2 dissout par la photosynthèse. L’acidité de l’eau diminue très légèrement. Ces deux facteurs cumulés, font que la calcite «précipite» pour former ces «bouesblanches», chargés de craie. - Lacs et Rivières
Lacs naturels, un héritage fragile
Les eaux du Petit et du Grand Maclu alimentent le lac d’Ilay. Chacun occupe une cuvette peu profonde creusée par le travail des glaciers il y a environ 20000 ans. Ces lacs sont en grande partie ceinturés par des végétations d’une grande diversité appelés bas-marais, mégaphorbiaies ou encore tourbières. Quelques roselières s’y développent également. Les insectes s’y épanouissent grâce à la grande qualité du milieu et particulièrement les libellules qui rivalisent en couleurs. La Foulque macroule est l’oiseau locataire le plus fidèle de ces lacs. Peu discret il se remarque par ses cris d’alarme trompétée. Vous croiserez peut-être aussi le Grèbe huppé. - Sommet - Point de vue
Belvédère des 4 Lacs
Posez pied à terre au parking du belvédère et rejoignez le point de vue en 5 minutes à pied. Arrivé au sommet, vous embrassez d’un regard l’immensité bleue et verte qui s’ouvre devant vous. Admirez les 4 lacs, issus de la dernière glaciation, couchés dans leur lit de prairies et forêts… Enchanteur! D’ailleurs, connaissez-vous la légende du lac de Narlay ? Il recouvre, dit-on, l’emplacement d’un village englouti par les eaux. «Un soir de Noël, en vain, une fée implora l'asile pour la nuit auprès de tous les habitants, mais seul le plus pauvre d'entre eux lui offrit un refuge. De colère, le lendemain, la fée noya le village entier, à l'exception de la demeure de son hôte située à l'extrémité du lac. Le nouveau village de Narlay se reconstitua autour de la maison épargnée, mais, tous les ans à Noël, le coq du village englouti chante les douze coups de minuit». Le point rando Une prochaine fois, poursuivez le chemin qui mène au belvédère jusqu’au pic de l’aigle: vous rejoindrez un splendide point de vue à 360° (compter 1h30 aller-retour). - Point de vue
Belvédère des Quatre Lacs
Le belvédère des 4 lacs offre une vue globale sur la vallée des lacs, relique de la dernière glaciation: Narlay, Ilay, le Petit et le Grand Maclu. Connaissez-vous la légende du lac de Narlay? Il recouvre, dit-on, l’emplacement d’un village englouti par les eaux. Un soir de noël, en vain, une fée implora l'asile pour la nuit auprès de tous les habitants, mais seul le plus pauvre d'entre eux lui offrit un refuge. De colère, le lendemain, la fée noya le village entier, à l'exception de la demeure de son hôte située à l'extrémité du lac. Le nouveau village de Narlay se reconstitua autour de la maison épargnée, mais tous les ans à Noël, le coq du village englouti chante les douze coups de minuit. - Faune
La Vipère aspic
Bien présente sur la zone de marais entre le petit et le grand Maclu, la vipère aspic, piètre nageuse, va rechercher les zones ensoleillées pour le bon fonctionnement de son métabolisme. Comme beaucoup de reptiles, elle est craintive et perçoit très bien les vibrations. Pour éviter de la déranger ou de la surprendre,et de vous faire mordre, tapez un peu des pieds et faites attention de ne pas l’écraser, elle se cachera bien avant que vous ne l’ayez aperçue!Tous les reptiles sont strictement protégés et sont indispensables aux équilibres écologiques. Laissez-les en paix et contournez-les simplement si vous les croisez. - Géologie
Les falaises du Morillon
Dégagés par la Lemme, qui crée là une cluse, les falaises du Morillon présentent une succession de strates verticales où alternent des bancs de calcaires durs et des bancs de marnes plus sensibles à l'érosion. L'ensemble offre une leçon de géologie jurassienne : création de roches sédimentaires il y a environ 200 Millions d'années et leur plissement sous la poussée alpine, d'environ - 11 Millions d'années à - 3 Millions d'années.
Exposées comme une coupe géologique, ces couches sont très marquées et le site, aujourd'hui ouvert aux adeptes de l'escalade, est illustré d'un panneau d'interprétation détaillant la genèse de ce paysage. - Histoire et Patrimoine
Mairie de Chaux-des-Crotenay
Remarquable par son clocher, la mairie date de 1846. L'usage de la cloche, représentant la "voix" de la communauté, a aussi son pendant dans la vie civile. Le clocher républicain, sous la responsabilité du maire ou de l'institueur, sonne l'appel des affouagistes, les conseils municipaux, les dangers d'un incendie...
Cependant les clochers républicains n'ont jamais réellement rivalisé avec ceux des églises, et ils étaient surtout présents lorsque l'église était trop éloignée du centre du village. (PNRHJ - Collection Patrimoine) - Histoire et Patrimoine
Église et chateau de Chaux-des-Crotenay
Plusieurs fois rénovée ou agrandie depuis le 12ème siècle, et édifiée sur le site d'une ancienne chapelle, l'église, classée monument historique en 1906, abrite de remarquables oeuvres d'art : tour eucharistique et statues.
Sur la colline qui domine la combe où se dresse l'édifice, un château médiéval du 12ème siècle, dit du champs des Mottes, fut détruit en 1691 sous les ordres de Louis XIV après qu'il se soit emparé de la Franche-Comté. - Cascades
Les gorges de la Langouette
Source de légendes et d'Histoire, les gorges de la Langouette sont riches de beauté et d'anecdotes à découvrir. - Histoire et Patrimoine
Ancien relais de diligence
Cette imposante bâtisse construite en 1789, au toit brisé dit «à la Mansart», comporte deux étages de granges et deux étages de caves. Les relais devaient pouvoir accueillir un nombre important d’attelages. Pour les rouliers (voituriers - transporteurs) grandvalliers, qui travaillaient à leur compte ou pour celui de Maisons de roulage, les relais étaient d’indispensables haltes. À l’apogée du roulage, au milieu du 19ème siècle, les Maisons de roulage comme la célèbre Maison Bouvet, établirent leurs propres relais dans les villes importantes. - Lacs et Rivières
Sentier des Gorges de la Langouette
Au départ de l'église, la fée Langouette vous accompagne le long de ce sentier jalonné de panneaux d’interprétation pour percer les secrets de ces mystérieuses cascades et gorges de la Langouette, et admirer au plus près la beauté sauvage de ce canyon creusé par la Saine. - Lacs et Rivières
Seuils et continuité écologique
De nombreux obstacles, seuils ou barrages, ont été construits de longue date dans les cours d’eau pour bénéficier de leur énergie hydraulique. La plupart d’entre eux n’a désormais plus d’usage et perturbe toujours le transport naturel des sédiments de la rivière et le déplacement des poissons. Par l’absence d’entretien, ils font peser des risques importants de déstabilisation des infrastructures voisines. La connaissance du fonctionnement des cours d’eau s’est aussi fortement améliorée, incitant les gestionnaires à tendre vers un fonctionnement plus naturel des cours d’eau en aménageant ou démontant les seuils inutilisés. - Cascades
Cascade du bief de la Ruine
Jaillissant d’une source à plus de 1000 mètres d’altitude, uniquement après de fortes pluies, la cascade du Bief de la Ruine vous réserve un spectacle harmonieux entre l’œuvre de l’Homme et de la nature. Le viaduc oriente le regard vers la danse de l’eau sur la pierre, qui s’insinue naturellement entre les piles du pont. - Histoire et Patrimoine
La voie du tram
Au début du XXe siècle, la montagne jurassienne s’est équipée de 400 kilomètres de voies ferrées métriques complétant les grands axes d’intérêt général comme la ligne Andelot-La Cluse. Sur ces voies étroites, «le Tacot» transportait, été comme hiver, les biens et les personnes. La première liaison, Lons - Saint-Claude, est ouverte en 1898, Champagnole à Foncine-le-Bas par les Planches-en-Montagne en 1924 pour fermer en 1950. Les tacots sont bénéficiaires jusqu’en 1927. Puis pannes, déraillements, retards ainsi que l’essor de l’automobile scellent le sort du «petit train» en 1958 par la fermeture de la ligne Morez - les Rousses – La Cure. En cinquante ans, par leurs échanges et leurs ouvrages, les tacots auront marqué les mémoires jurassiennes et contribué à forger un patrimoine à l’image des viaducs des gorges de Malvaux. - Histoire et Patrimoine
Le viaduc des Douanets
Les voies métriques devaient faire l’économie d’ouvrages d’art. Mais dans une région accidentée, les viaducs étaient le seul moyen de franchir rivières, gouffres et précipices. La ligne Clairvaux - Foncine a fonctionné de 1907 à 1939; les voies ont été démontées sous l’occupation. - Histoire et Patrimoine
Foncine-le-Bas
Dans le secteur de Grandvaux-Malvaux, carrefour de routes importantes entre Saint-Claude, Genève, Lons le Saunier, et Besançon, l’image des rouliers et des voituriers a longtemps symbolisé l'ouverture commerciale du teritoire. A Foncine-le-Bas, cette tradition se manifeste par la présence de la voie du tram, entre Clairvaux-les-Lacs et Foncine, qui a entraîné la construction du viaduc des Douanets et d’une petite gare. Ces infrastructures ont représenté une opportunité pour les entreprises locales dont l'implantation étaient liée à l'utilisation de la force motrice de la Saine qui traverse le village à Foncine-le-Bas. - Histoire et Patrimoine
La légende de la Dame du lac
Les pays de lacs sont hantés par de nombreuses légendes: fées, cavaliers et sorcières flottent au-dessus de leurs eaux mystérieuses. Plusieurs légendes sont à l’origine du nom du «lac à la Dame». L’une d’entre elle dit que ce petit lac a été creusé par le mystérieux cavalier qui errait au dessus des lacs de Bonlieu, des Maclu et de Narlay, à la demande d’une femme dont il était amoureux. En échange de cette faveur, elle se donnerait à lui corps et âme. Par temps brumeux, peut-être apercevrez-vous flottant sur le lac la longue robe blanche de la Dame! - Histoire et Patrimoine
Les larmiers du chalet
Destinés à la ventilation du "laitier", pièce où le lait était mis à refroidir avant sa fabrication en fromage, les larmiers sont des ouvertures verticales étroites et longues que l'ont peut observer sur les façades des anciennes fromageries comme içi aux Monnets.
Au hameau du Coin d'Aval, sur la commune de Fort-du-Plasne, se visite en été un ancien chalet (ou fromagerie). - Histoire et Patrimoine
Les larmiers du chalet
Destinés à la ventilation du "laitier", pièce où le lait était mis à refroidir avant sa fabrication en fromage, les larmiers sont des ouvertures verticales étroites et longues que l'ont peut observer sur les façades des anciennes fromageries comme içi aux Monnets.
Au hameau du Coin d'Aval, sur la commune de Fort-du-Plasne, se visite en été un ancien chalet (ou fromagerie). - Histoire et Patrimoine
Centre-village de Fort-du-Plasne
À Fort-du-Plasne, les édifices publics s’alignent le long de la route principale (école, poste, mairie, fontaine, monument aux morts et fromagerie). Autrefois, la mairie, outre ses fonctions administratives, pouvait aussi offrir des services tels que les bains publics, comme ce fut le cas dans la mairie de Fort-du-Plasne. - Milieux naturels
La tourbière : un puits de carbone
La prise de conscience de la nécessité de protéger les tourbières est récente. Ces milieux fragiles jouent un rôle important dans le maintien de la qualité de l’eau et permettent de lutter naturellement contre les effets de la sécheresse et du changement climatique. En effet, les plantes captent le dioxyde de carbone (CO2) de l’air par la photosynthèse pour former leurs tissus: feuilles, tronc, tiges etc. À leur mort, elles sont dégradées par les micro-organismes des sols et restituent le carbone à l’atmosphère. Mais dans une tourbière la présence de l’eau empêche les organismes décomposeurs de travailler, ce qui piège le carbone dans la tourbe. Les tourbières ne représentent que 3% de la surface des terres émergées, mais stockent 30 % du carbone des sols terrestres! - Flore
Caractéristiques de la flore des tourbières
Les espèces vivant dans les tourbières se sont adaptées à l’omniprésence de l’eau, aux faibles ressources nutritives, à la composition chimique du sol, qui, dans les régions calcaires, peut être acide ou basique et à un climat plutôt froid. - Flore
La linaigrette
La linaigrette, sorte de coton-tige au plumeau blanc, se repère facilement dans les tourbières. Ses racines longues d’un mètre lui permettent de stocker des réserves nutritives, car le sol est très pauvre en minéraux. C’est une plante adaptée à un climat boréal (froid). Elle était répandue dans toute l’Europe il y a quelques milliers d’années. Puis le climat s’est réchauffé; elle n’a survécu que dans les pays scandinaves et dans les tourbières, où aucune autre n’est capable de lui disputer sa place. - Histoire et Patrimoine
Hameaux et voisinage
Support de la mémoire familiale et repère géographique, la maison s’inscrit dans un réseau de voisinage et d’interconnaissance parfois très fort. Certaines fermes ou terrains ont donné le nom d’un ancien occupant lorsque celui-ci fut un personnage marquant. Dans un contexte d’habitat dispersé, où les hameaux sont éloignés les uns des autres, les caractéristiques particulières de l’environnement naturel, ou même d’histoires personnelles génèrent aussi leurs toponymes: Sous le Mont Noir, Grange à l'Olive… - Forêt
La certification des forêts
Pour valoriser la bonne gestion de la forêt, un label a été créé pour garantir la provenance des bois transformés lors de la fabrication des produits. Ainsi, vous pouvez parfois voir sur les emballages un logo PEFC® ou FSC®, qui indique une gestion durable et respectueuse de des forêts d’où provient la matière première.LE COIN DES ENFANTSSur quels produits as-tu pu voir ces labels? Sur la majorité des emballages cartons ou papier, mais aussi sur tous les objets façonnés à partir du bois. N’hésite pas à regarder la prochaine fois! - Faune
Le Canard colvert
Bien que très connu, le canard colvert sait rester discret et se cacher entre les roseaux quand il le faut. Cet oiseau possède une excellente capacité d’adaptation, et est le spécialiste du décollage rapide s’il se sent menacé. Sa vitesse de pointe peut même atteindre les 80 Km/h ! Visible dans tout tous types de milieux humides, les roselières restent un endroit privilégié car elles fournissent un abri pour lui et sa famille. Généralement il se nourrit de graines et de plantes, mais il lui arrive de chasser des petits mollusques invertébrés à la surface de l’eau. A noter que mâles et femelles possèdent un plumage différent. - Faune
La Buse variable
Parmi les rapaces présents sur le Mont-Noir, la buse variable est probablement le plus facile à observer. Son habitat est très varié. Le nid est construit sur un arbre, souvent dans les bois.Les prairies et les marais lui servent de terrain de chasse. Sa nourriture se compose majoritairement de petits mammifères, mais aussi de reptiles, batraciens, et insectes. Pour chasser, elle doit d’abord localiser ses proies: soit en faisant des cercles dans les airs jusqu’à une centaine mètres au-dessus du sol, soit en restant de longs moments perchée à l’affût. - Flore
La Roselière
Essentiellement composée d’une végétation haute, dominée, comme son nom l’indique, de roseaux, elle sert d’abri aux oiseaux et insectes, comme les canards et les libellules. Les roseaux morts sont souvent les principaux éléments constitutifs lors des formations des tourbières du Jura. C’est une plante très résistante, avec des racines profondes et qui s’acclimate facilement dans ces marais. Dans certaines conditions, les roseaux peuvent devenir «envahissants», et se propager sur la tourbière, «étouffant» les autres plantes plus basses. Les évolutions du climat et les pollutions atmosphériques semblent le favoriser. - Forêt
L'histoire de nos forêts
Les forêts ont de tout temps été utilisées par l’homme pour la chasse, la cueillette, le chauffage, la construction… Ce fût Louis XIV qui instaura le Code forestier pour réguler l’exploitation des bois. Dans le Haut-Jura, les moines défricheurs ont d’abord façonné la forêt en la défrichant et l’exploitant, permettant ainsi l’installation de la population et le développement des vallées. Aujourd’hui, la forêt est exploitée mais a aussi pour but de préserver le paysage, de fixer les sols, en limitant leur érosion et les chutes de pierre.LE COIN DES ENFANTS L’ambiance sombre et mystérieuse de la forêt a inspiré de nombreux contes et histoires. Lesquels connais-tu? Les contes racontés aux enfants, comme le petit poucet, blanche-neige, le petit chaperon rouge. Mais aussi les grands romans du moyen âge, comme la légende du roi Arthur, le roman de renard, et des livres plus contemporains. - Histoire et Patrimoine
La voie du tram
Ouverte en 1907, la voie du tram qui passait au Lac des Rouges Truites, et sur laquelle vous vous situez, reliait Clairvaux-les-Lacs à Foncine-le-Haut et désservait Saint-Laurent-en-Grandvaux.
Comme l'ensemble des voies de tram jurassienne, déficitaire et concurrencée par le développement des services d'autocars et de l'automobile, elle ferma en 1938.
Saurez-vous repéré l'ancienne gare du hameau des Thévenins à votre retour au Bugnon ? - Milieux naturels
Prairie humide
La périphérie des tourbières est ici encore pâturée. Ces prairies humides, caractérisées par une présence importante d’eau dans le sol, sont également très riches pour la biodiversité. Certaines fleurs, comme par exemple la Primevère farineuse, s’y plaisent particulièrement. Ce sont aussi des zones de transition entre le reste de la vallée et la tourbière, le lac et la rivière. Elles filtrent l’eau dans le sol en éliminant les nitrates, ce qui limite la pollution des nappes phréatiques. Leur présence est donc essentielle pour le bon maintien d’une tourbière - Milieux naturels
L'exploitation des tourbières
Le manque d’oxygène dans une tourbière empêche les plantes mortes de se décomposer. Cela forme une accumulation de matière organique, créant alors une sorte de terre spongieuse qu’on appelle la tourbe. Autrefois, elle était extraite par briques et séchée à la belle saison. On l’utilisait comme combustible dans le poêle à une époque où le bois a manqué dans le Jura. Cette exploitation a duré plusieurs siècles. De profondes fosses restent visibles dans les tourbières du Jura, favorisant l’assèchement de la tourbe qui n’a pas été exploitée. - Histoire et Patrimoine
Le mystère des Rouges Truites
La rumeur a donné naissance à quatre versions pour tenter d'expliquer l'origine du nom Lac des Rouges Truites :
- Poétique : chaque soir, lorsque le soleil se couche, les truites prennent la couleur pourpre de ses reflets sur le lac.
- Pratique : les truites y sont saumonnées.
- Physique : l'eau contiendrait de l'oxyde de fer.
- Militaire : le lac aurait été le terrain d'une bataille sanglante.
- Histoire et Patrimoine
Vue sur l'ancienne fromagerie
A partir du 18ème siècle, la spécialisation fromagère et la mise en commun du lait dans les structures coopératives que sont les fruitières, font sortir l'agriculteur d'une économie d'autosubsistance. La production fromagère, de mieux en mieux organisée, devient aussi de plus en plus lucrative grâce aux réseaux commerciaux promus notamment par les rouliers. Ces commerçants livraient les fromages dans les grandes villes françaises, notamment Lyon. - Flore
La forêt du Mont Noir
Avec ses 1873 hectares, le massif du Mont-Noir est l’une des plus grandes forêts jurassiennes. Elle est essentiellement constituée d’arbres aux feuillages sombres, tels que le Sapin, l’Épicéa et le Hêtre, d’où l’origine de son nom. Cerfs, sangliers et chevreuils y cohabitent avec le Lynx et le Grand Tétras. L’exploitation du bois est une activité économique importante pour nos montagnes. La forêt accueille aussi des randonneurs qui effectuent de longues marches sur ses sentiers balisés. Partagez cet espace et restez prudents si vous croisez des exploitations forestières. - Milieux naturels
Vue sur la tourbière du lac des Rouges Truites
Héritière des glaciers qui couvraient le Jura il y a dix mille ans ayant laissé des moraines aux fonds imperméables, une tourbière se forme lorsque ces fonds se remplissent d'eau stagnante, peuplés de végétaux résistants au froid. Le sol mouvant des tourbières est un épais tapis de sphaignes, sur lequel quelques plantes particulièrement adaptées peuvent croître (canneberge, linaigrette, andromède, drosera, pin à crochet...). L'intérêt biologique rend donc important la préservation de ces milieux fragiles. - Milieux naturels
La tourbière
Ce milieu très fragile est tout à fait exceptionnel. Formé à partir de végétation morte mal décomposée par manque d’oxygène, ce sol gorgé d’eau offre un habitat unique aux espèces qu’il abrite. Ces dernières sont très adaptées à ce milieu et ne pourraient pour la plupart pas vivre ailleurs. La tourbière du Lac-des-Rouges-Truites en héberge un grand nombre. Notons par exemple les espèces rarissimes que sont sphagnum obtusum: une sphaigne, mousse des tourbières, qui n’existe en France que dans une tourbière du Cantal et ici; ainsi que le Vertigo édenté, un tout petit escargot qu’on croyait disparu de France avant de le retrouver, seulement ici, en 2014. - Flore
L'épicéa
Conifère largement répandu en Europe, cet arbre est par excellence celui des régions montagnardes... Certains bois de très bonne qualité peuvent être utilisés en lutherie pour fabriquer des tables de résonance de différents instruments (violon, guitares...). Mais l’essentiel de la production sert au bois d’œuvre (construction et menuiserie). Il est souvent confondu avec le sapin. Mais l’œil attentif verra une différence dans les aiguilles, pointues chez l’épicéa, plates et arrondies chez le sapin ou à la position des cônes (pommes de pins). Ceux de l’épicéa sont dirigés vers le bas au bout de branches tombantes, tandis que ceux du sapin pointent vers le haut au bout de branches dressées. - Forêt
Nos forêts sont-elles en danger ?
Avec nos besoins en bois croissants et le réchauffement climatique, nos forêts sont-elles en danger? Oui et non. La forêt telle que nous la connaissons évoluera sûrement beaucoup d’ici une centaine d’années. Le réchauffement climatique entraine des changements sur les températures, la disponibilité en eau, la fréquence des catastrophes naturelles, ce qui oblige les forestiers à bien choisir les essences à exploiter, en fonction des secteurs les plus adaptés à leur croissance. En effet, les arbres doivent se développer entre 60 et 120 ans, selon les essences, pour produire du bois de qualité.LE COIN DES ENFANTS Pourquoi dit-on que la forêt est le poumon de laTerre? Lorsque les plantes respirent la journée, elles aspirent le CO2 et rejettent de l’oxygène dans l’atmosphère. La forêt stocke le CO2 dans le sol et tout au long de leur croissance, les arbres stockent le CO2 dans leur bois.. En parallèle, ils filtrent aussi l’eau du sol, grâce à leurs racines.
Description
Depuis l'office de tourisme, remonter la Rue de Genève sur votre gauche puis tourner par deux fois sur votre droite pour emprunter la Rue du Coin d'Amont, derrière l'église et suivre celle-ci jusqu'au bout. Après la sortie du village, emprunter la passerelle au-dessus de la N5 et continuer sur la même route forestière bitumée jusqu'au hameau Vers les Moulins.
Passer le pont sur la Lemme puis tourner à gauche.
Aux ruines du Moulin d'Hylarion, continuer sur la route et rejoindre le Châtelet (ancien centre de vacances qui est désormais une école).
À la patte d'oie après l'école, tourner à gauche puis après 300 m, prendre un petit chemin la droite, direction Chez Mayet.
Au hameau "les Gros Louis" (indiqué "le Saut" sur la carte IGN), prendre deux fois à droite. À la route transversale, partir à gauche et retrouver la N5.
En face de vous se trouve un ancien hôtel-restaurant au bord duquel une plateforme a été aménagée avec un beau point de vue sur la Lemme.
Suivre la N5 à gauche, passer la Lemme, atteindre rapidement l'ancien restaurant "Le Pont Romain" et une route forestière à droite.
Tourner à droite sur la route forestière, surplomber provisoirement la voie ferrée puis traverser la forêt jusqu'à l'approche de la cabane forestière du Prélet.
Virer à angle aigu à droite sur la Route Forestière du Lignon.
Traverser le Dombief, prendre la première route à gauche et rejoindre le hameau de la Boissière.
Traverser le village puis, avant le hameau des Rollets, poursuivre à droite sur la Route Forestière du Bois de Ban, jusqu'au parking du Belvédère des Quatre Lacs.
Un sentier sur la gauche permet d'accéder au belvédère des Quatre lacs et au Pic de l'Aigle. Continuer sur la route forestière. Au croisement de routes suivant, partir à gauche et atteindre la N5 au hameau du Cernois.
Partir à gauche puis tourner à droite en face de la ferme isolée, au pied de la Falaise du Rachet, site d'escalade du Morillon.
Poursuivre sur le chemin carrossable à gauche, le long de la Lemme, jusqu'au Pont de la Chaux. Dépasser la gare et le restaurant, traverser avec prudence la D16 et emprunter la voie communale en face. Rejoindre le hameau La Tépette.
Emprunter les voies parallèles à la D16, Rue de la Tepette puis Route du Chavon, pour arriver à l'entrée du village de Chaux-des-Crotenay.
Remonter sur la gauche la Grande Rue, et suivre la 2e à droite, Route d'Entre-deux-Monts, jusqu'en contrebas du village.
200 m avant l'église, prendre le large chemin blanc sur la gauche qui permet de traverser la combe et atteindre l'intersection avec la D16.
Traverser la route avec prudence, suivre la D127E1 quelques mètres et s'engager sur le sentier à droite. Descendre à travers la forêt puis une pâture avant de retrouver la route.
Partir à droite, Rue de la Langouette puis suivre la direction des Gorges de la Langouette à droite. Passer un ru et prendre, juste avant le panneau de sortie d'agglomération de Montliboz, le Chemin des Cascades à droite. Rejoindre les Planches-en-Montagne
Tourner à gauche devant le cimetière, traverser le pont au dessus de la Saine et longer l'église.
Juste après celle-ci, au poteau directionnel "les Planches-en-Montagne", suivre la Ruelle du Lavoir à droite, balisage Blanc/Rouge, direction de Foncine-le-Bas. Poursuivre le long de la voie du tram, ancienne ligne ferroviaire, avec à main droite la Saine.
Observer sur la gauche la Cascade du Bief de la Ruine et traverser un tunnel en arc de cercle, se munir d'un éclairage. Poursuivre le long de la Saine.
À l'arrivée de la voie du tram, traverser le pont puis rejoindre Foncine-le-Bas.
Emprunter la Route de Champagnole à droite sur 150 m puis la traverser pour bifurquer à gauche sur la D62, direction de Fort-du-Plasne. Rejoindre la première route bitumée sur la droite.
Suivre celle-ci, Chemin du Lac de la Dame, direction les Fumey. Contourner le Lac à la Dame et remonter ensuite de nouveau sur la D62.
Prolonger sur celle-ci et rejoindre le village de Fort-du-Plasme.
Prendre le chemin carrossable à gauche juste avant les premières maisons du village. Rouler entre le lac de Fort-du-Plasne et sa zone humide.
Au hameau Les Voigneurs, tourner à droite et suivre la route jusqu'au hameau le Maréchet.
Tourner à droite sur la D437 puis s'engager sur la première route goudronnée à gauche. Traverser le petit pont et au poteau directionnel de randonnée "le Maréchet", suivre le chemin à droite, balisage Jaune en direction de "la Gare". Aller tout droit à chaque bifurcation et atteindre la D437.
Partir à gauche, passer le panneau d'entrée d’agglomération de Lac-des-Rouges-Truites et longer le bâtiment de l'ancienne gare à main gauche.
Juste après celle-ci, quitter la D437 et s'engager sur la route secondaire à gauche. Garder la gauche jusqu'au Domaine du Bugnon. Possiblilité de faire une pause, boire un verre ou recharger une batterie.
Continuer sur la même route forestière jusqu'au croisement à quatre routes, poteau de randonnée "Les Quatre Chemins".
Continuer à droite, suivre le balisage Jaune et rejoindre un lotissement par une route forestière. Le dépasser de quelques mètres et trouver à gauche le départ de l'ancienne voie du tram, actuellement chemin blanc.
Suivre celui-ci et continuer tout droit à chaque bifurcations.
À la sortie de la voie du tram, quelques mètres avant la D437, en face du poteau "la Halte des Martins", Virer à gauche et rester sur le parcours enherbé parallèle à la route. Dépasser, sur à droite, l'ancienne halte ferroviaire et retrouver une petite route bitumée à emprunter, en face, sur quelques dizaines de mètres.
À l'intersection, aller tout droit puis s'engager rapidement à droite, Chemin du Carlaton (limité à 3,5t). Rejoindre le hameau de la Savine et la N5.
Traverser la N5 par un passage souterrain aménagé à droite. En face de la fontaine, emprunter le chemin blanc du milieu qui démarre entre la Route des Gyps et le Chemin sous la Savine. La voie du tram mène au quartier des Pésières à Saint-Laurent en Grandvaux
À l'intersection avec la Rue des Pésières, tourner à droite et rouler jusqu'à la Rue de Genève.
Tourner à gauche et remonter la Rue de Genève par la voie cyclable aménagée sur le trottoir, jusqu'à l'Office de Tourisme.
Passer le pont sur la Lemme puis tourner à gauche.
Aux ruines du Moulin d'Hylarion, continuer sur la route et rejoindre le Châtelet (ancien centre de vacances qui est désormais une école).
À la patte d'oie après l'école, tourner à gauche puis après 300 m, prendre un petit chemin la droite, direction Chez Mayet.
Au hameau "les Gros Louis" (indiqué "le Saut" sur la carte IGN), prendre deux fois à droite. À la route transversale, partir à gauche et retrouver la N5.
En face de vous se trouve un ancien hôtel-restaurant au bord duquel une plateforme a été aménagée avec un beau point de vue sur la Lemme.
Suivre la N5 à gauche, passer la Lemme, atteindre rapidement l'ancien restaurant "Le Pont Romain" et une route forestière à droite.
Tourner à droite sur la route forestière, surplomber provisoirement la voie ferrée puis traverser la forêt jusqu'à l'approche de la cabane forestière du Prélet.
Virer à angle aigu à droite sur la Route Forestière du Lignon.
Traverser le Dombief, prendre la première route à gauche et rejoindre le hameau de la Boissière.
Traverser le village puis, avant le hameau des Rollets, poursuivre à droite sur la Route Forestière du Bois de Ban, jusqu'au parking du Belvédère des Quatre Lacs.
Un sentier sur la gauche permet d'accéder au belvédère des Quatre lacs et au Pic de l'Aigle. Continuer sur la route forestière. Au croisement de routes suivant, partir à gauche et atteindre la N5 au hameau du Cernois.
Partir à gauche puis tourner à droite en face de la ferme isolée, au pied de la Falaise du Rachet, site d'escalade du Morillon.
Poursuivre sur le chemin carrossable à gauche, le long de la Lemme, jusqu'au Pont de la Chaux. Dépasser la gare et le restaurant, traverser avec prudence la D16 et emprunter la voie communale en face. Rejoindre le hameau La Tépette.
Emprunter les voies parallèles à la D16, Rue de la Tepette puis Route du Chavon, pour arriver à l'entrée du village de Chaux-des-Crotenay.
Remonter sur la gauche la Grande Rue, et suivre la 2e à droite, Route d'Entre-deux-Monts, jusqu'en contrebas du village.
200 m avant l'église, prendre le large chemin blanc sur la gauche qui permet de traverser la combe et atteindre l'intersection avec la D16.
Traverser la route avec prudence, suivre la D127E1 quelques mètres et s'engager sur le sentier à droite. Descendre à travers la forêt puis une pâture avant de retrouver la route.
Partir à droite, Rue de la Langouette puis suivre la direction des Gorges de la Langouette à droite. Passer un ru et prendre, juste avant le panneau de sortie d'agglomération de Montliboz, le Chemin des Cascades à droite. Rejoindre les Planches-en-Montagne
Tourner à gauche devant le cimetière, traverser le pont au dessus de la Saine et longer l'église.
Juste après celle-ci, au poteau directionnel "les Planches-en-Montagne", suivre la Ruelle du Lavoir à droite, balisage Blanc/Rouge, direction de Foncine-le-Bas. Poursuivre le long de la voie du tram, ancienne ligne ferroviaire, avec à main droite la Saine.
Observer sur la gauche la Cascade du Bief de la Ruine et traverser un tunnel en arc de cercle, se munir d'un éclairage. Poursuivre le long de la Saine.
À l'arrivée de la voie du tram, traverser le pont puis rejoindre Foncine-le-Bas.
Emprunter la Route de Champagnole à droite sur 150 m puis la traverser pour bifurquer à gauche sur la D62, direction de Fort-du-Plasne. Rejoindre la première route bitumée sur la droite.
Suivre celle-ci, Chemin du Lac de la Dame, direction les Fumey. Contourner le Lac à la Dame et remonter ensuite de nouveau sur la D62.
Prolonger sur celle-ci et rejoindre le village de Fort-du-Plasme.
Prendre le chemin carrossable à gauche juste avant les premières maisons du village. Rouler entre le lac de Fort-du-Plasne et sa zone humide.
Au hameau Les Voigneurs, tourner à droite et suivre la route jusqu'au hameau le Maréchet.
Tourner à droite sur la D437 puis s'engager sur la première route goudronnée à gauche. Traverser le petit pont et au poteau directionnel de randonnée "le Maréchet", suivre le chemin à droite, balisage Jaune en direction de "la Gare". Aller tout droit à chaque bifurcation et atteindre la D437.
Partir à gauche, passer le panneau d'entrée d’agglomération de Lac-des-Rouges-Truites et longer le bâtiment de l'ancienne gare à main gauche.
Juste après celle-ci, quitter la D437 et s'engager sur la route secondaire à gauche. Garder la gauche jusqu'au Domaine du Bugnon. Possiblilité de faire une pause, boire un verre ou recharger une batterie.
Continuer sur la même route forestière jusqu'au croisement à quatre routes, poteau de randonnée "Les Quatre Chemins".
Continuer à droite, suivre le balisage Jaune et rejoindre un lotissement par une route forestière. Le dépasser de quelques mètres et trouver à gauche le départ de l'ancienne voie du tram, actuellement chemin blanc.
Suivre celui-ci et continuer tout droit à chaque bifurcations.
À la sortie de la voie du tram, quelques mètres avant la D437, en face du poteau "la Halte des Martins", Virer à gauche et rester sur le parcours enherbé parallèle à la route. Dépasser, sur à droite, l'ancienne halte ferroviaire et retrouver une petite route bitumée à emprunter, en face, sur quelques dizaines de mètres.
À l'intersection, aller tout droit puis s'engager rapidement à droite, Chemin du Carlaton (limité à 3,5t). Rejoindre le hameau de la Savine et la N5.
Traverser la N5 par un passage souterrain aménagé à droite. En face de la fontaine, emprunter le chemin blanc du milieu qui démarre entre la Route des Gyps et le Chemin sous la Savine. La voie du tram mène au quartier des Pésières à Saint-Laurent en Grandvaux
À l'intersection avec la Rue des Pésières, tourner à droite et rouler jusqu'à la Rue de Genève.
Tourner à gauche et remonter la Rue de Genève par la voie cyclable aménagée sur le trottoir, jusqu'à l'Office de Tourisme.
- Départ : Saint-Laurent-en-Grandvaux (office de tourisme)
- Arrivée : Saint-Laurent-en-Grandvaux (office de tourisme)
- Communes traversées : Saint-Laurent-en-Grandvaux, Lac-des-Rouges-Truites, Fort-du-Plasne, La Chaumusse, La Chaux-du-Dombief, Entre-deux-Monts, Chaux-des-Crotenay, Les Planches-en-Montagne et Foncine-le-Bas
Météo
Profil altimétrique
Zones de sensibilité environnementale
Le long de votre itinéraire, vous allez traverser des zones de sensibilité liées à la présence d’une espèce ou d’un milieu particulier. Dans ces zones, un comportement adapté permet de contribuer à leur préservation. Pour plus d’informations détaillées, des fiches spécifiques sont accessibles pour chaque zone.
Grand tétras
Le Grand Tétras est une espèce emblématique des forêts de montagnes françaises. Son apparence et son comportement font de lui un oiseau très atypique. Pouvoir l’observer relève d’un vrai défi, tant cet oiseau est discret, mais s’avère être un souvenir mémorable.
En hiver, son activité est réduite au minimum. Il passe la quasi-totalité de la journée perché dans un arbre et consomme uniquement des aiguilles de sapin. Une nourriture très peu énergétique. Cette période est critique pour sa survie. Un oiseau subissant un dérangement régulier va puiser dans ses maigres réserves et finir par en subir les conséquences. Sa sensibilité à la prédation aura augmenté, ou bien il dépérira simplement à cause du manque d’énergie. Une autre période critique prend place du printemps au début de l’été avec la couvaison. Si la poule est surprise plusieurs fois, elle va abandonner le nid et laisser ses poussins seuls, sans protection. La survie des jeunes étant déjà très faible naturellement, ce phénomène accentue, d’autant plus, ce risque de mortalité chez les jeunes oiseaux.
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Grand tétras en période de nidification sont principalement les pratiques sportives terrestres comme la randonnée, le ski, le VTT.
En hiver, son activité est réduite au minimum. Il passe la quasi-totalité de la journée perché dans un arbre et consomme uniquement des aiguilles de sapin. Une nourriture très peu énergétique. Cette période est critique pour sa survie. Un oiseau subissant un dérangement régulier va puiser dans ses maigres réserves et finir par en subir les conséquences. Sa sensibilité à la prédation aura augmenté, ou bien il dépérira simplement à cause du manque d’énergie. Une autre période critique prend place du printemps au début de l’été avec la couvaison. Si la poule est surprise plusieurs fois, elle va abandonner le nid et laisser ses poussins seuls, sans protection. La survie des jeunes étant déjà très faible naturellement, ce phénomène accentue, d’autant plus, ce risque de mortalité chez les jeunes oiseaux.
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Grand tétras en période de nidification sont principalement les pratiques sportives terrestres comme la randonnée, le ski, le VTT.
- Domaines d'activités concernés :
- Manifestation sportive, Terrestre
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.maijuindéc.
- Contact :
APPB Forêt Du Paradis
FR3800137 - FORÊT DU PARADIS
Afin de garantir l'équilibre biologique des milieux nécessaires à la reproduction, l'alimentation, le repos et la survie des espèces concernées, il est instauré un arrêté préfectoral de protection de biotope sur la Forêt Du Paradis sur la commune de FONCINE-LE-BAS, FONCINE-LE-HAUT, LES CHALESMES, LES PLANCHES-EN- MONTAGNE;
Dans ce périmètre, est interdit :
- La pratique de l'escalade, y compris la descente en rappel
Afin de garantir l'équilibre biologique des milieux nécessaires à la reproduction, l'alimentation, le repos et la survie des espèces concernées, il est instauré un arrêté préfectoral de protection de biotope sur la Forêt Du Paradis sur la commune de FONCINE-LE-BAS, FONCINE-LE-HAUT, LES CHALESMES, LES PLANCHES-EN- MONTAGNE;
Dans ce périmètre, est interdit :
- La pratique de l'escalade, y compris la descente en rappel
- Domaines d'activités concernés :
- Vertical
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.oct.nov.déc.
- Contact :
- LPO BFC - DT Franche-Comté
Mail : franche-comte@lpo.fr
Tel : 03 81 50 43 10
Site : www.bfc.lpo.fr
Zone de tranquillité de la vie sauvage des 4 Lacs
Le périmètre de la zone de tranquillité est concerté (Parc, CEN, Communes, Syndicat de gestion du Lac d’Ilay), et non réglementaire. Pour la tranquillité de la faune et de la flore du secteur concerné, entre les lacs d’Ilay, du Grand Maclu et du Petit Maclu, il est demandé de ne pas pénétrer la zone de mi avril à mi septembre.
Elle inclut les interdictions valables sur l’ensemble des 4 Lacs (arrêtés municipaux et préfectoral) :
- Pas de camping/bivouac sauvages
- Pas de feu
- Pas de baignade
- Pas d’activité nautiques (paddle, bouée, kayak, etc.) ; seuls les pêcheurs ont le droit de naviguer
- Pas de nuisances sonores
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Aquatique, Souterrain, Terrestre, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- avr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc naturel régional du Haut-Jura
29 Le Village
39310 Lajoux
03 84 34 12 30
www.parc-haut-jura.fr/
APPB CORNICHES CALCAIRES - COTE DU MACLU
FR3800859 - Corniches calcaires du département du Jura
Espèces concernées : Faucon pèlerin, Hibou grand-duc, Tichodrome échelette, Harle bièvre, Grand Corbeau, Choucas des tours, Faucon crécerelle, Martinet à ventre blanc, Hirondelle des rochers et Hirondelle de fenêtre.
Afin de garantir l'équilibre biologique des milieux nécessaires à la reproduction, l'alimentation, le repos et la survie de l'espèce concernée, il est instauré un arrêté préfectoral de protection de biotope sur les falaises de la Côte du Maclu sur la commune de La Chaux-du-Dombief et du Frasnois.
Dans ce périmètre, est interdit pendant la période de reproduction (du 15/02 au 01/07) :
- Le survol à moins de 150 m des parois rocheuses part tout aéronef, y compris engins volant téléguidé
- La pratique de l'escalade, y compris la descente en rappel
- Les activités de canyoning et de spéléologie (attention certains sites sont exclus : se référer à l'article 7 pour cette dernière activité )
- La pratique de toute activité bruyantes (motorisation, sonorisation)
Merci d'éviter le secteur pour permettre la reproduction des espèces.
Espèces concernées : Faucon pèlerin, Hibou grand-duc, Tichodrome échelette, Harle bièvre, Grand Corbeau, Choucas des tours, Faucon crécerelle, Martinet à ventre blanc, Hirondelle des rochers et Hirondelle de fenêtre.
Afin de garantir l'équilibre biologique des milieux nécessaires à la reproduction, l'alimentation, le repos et la survie de l'espèce concernée, il est instauré un arrêté préfectoral de protection de biotope sur les falaises de la Côte du Maclu sur la commune de La Chaux-du-Dombief et du Frasnois.
Dans ce périmètre, est interdit pendant la période de reproduction (du 15/02 au 01/07) :
- Le survol à moins de 150 m des parois rocheuses part tout aéronef, y compris engins volant téléguidé
- La pratique de l'escalade, y compris la descente en rappel
- Les activités de canyoning et de spéléologie (attention certains sites sont exclus : se référer à l'article 7 pour cette dernière activité )
- La pratique de toute activité bruyantes (motorisation, sonorisation)
Merci d'éviter le secteur pour permettre la reproduction des espèces.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Souterrain, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- févr.marsavr.maijuin
- Contact :
- LPO BFC - DT Franche-Comté
Mail : franche-comte@lpo.fr
Tel : 03 81 50 43 10
Site : www.bfc.lpo.fr
APPB CORNICHES CALCAIRES - COTE POUTIN
FR3800859 - Corniches calcaires du département du Jura
Espèces concernées : Faucon pèlerin, Hibou grand-duc, Tichodrome échelette, Harle bièvre, Grand Corbeau, Choucas des tours, Faucon crécerelle, Martinet à ventre blanc, Hirondelle des rochers et Hirondelle de fenêtre.
Afin de garantir l'équilibre biologique des milieux nécessaires à la reproduction, l'alimentation, le repos et la survie de l'espèce concernée, il est instauré un arrêté préfectoral de protection de biotope sur les falaises de la Côte Poutin sur la commune de Les Planches en Montagne.
Dans ce périmètre, est interdit pendant la période de reproduction (du 15/02 au 01/07) :
- Le survol à moins de 150 m des parois rocheuses part tout aéronef, y compris engins volant téléguidé
- La pratique de l'escalade, y compris la descente en rappel
- Les activités de canyoning et de spéléologie
- La pratique de toute activité bruyantes (motorisation, sonorisation)
Merci d'éviter le secteur pour permettre la reproduction des espèces.
Espèces concernées : Faucon pèlerin, Hibou grand-duc, Tichodrome échelette, Harle bièvre, Grand Corbeau, Choucas des tours, Faucon crécerelle, Martinet à ventre blanc, Hirondelle des rochers et Hirondelle de fenêtre.
Afin de garantir l'équilibre biologique des milieux nécessaires à la reproduction, l'alimentation, le repos et la survie de l'espèce concernée, il est instauré un arrêté préfectoral de protection de biotope sur les falaises de la Côte Poutin sur la commune de Les Planches en Montagne.
Dans ce périmètre, est interdit pendant la période de reproduction (du 15/02 au 01/07) :
- Le survol à moins de 150 m des parois rocheuses part tout aéronef, y compris engins volant téléguidé
- La pratique de l'escalade, y compris la descente en rappel
- Les activités de canyoning et de spéléologie
- La pratique de toute activité bruyantes (motorisation, sonorisation)
Merci d'éviter le secteur pour permettre la reproduction des espèces.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Souterrain, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- févr.marsavr.maijuin
- Contact :
- LPO BFC - DT Franche-Comté
Mail : franche-comte@lpo.fr
Tel : 03 81 50 43 10
Site : www.bfc.lpo.fr
Accès routiers et parkings
Se rendre dans le centre de Saint-Laurent-en-Grandvaux où vous trouverez un parking derrière l'office de tourisme.
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