Echappée Jurassienne Pédestre – Etape 18 : Les Rousses – Saint Cergue
Les 24 patrimoines à découvrir
- Histoire et Patrimoine
La Grande Redoute
Ce petit emplacement défensif situé à l'extérieur du fort servait à protéger les soldats se trouvant hors de la ligne de défense principale.
Construite en mai 1815 sous le régime Napoléonien, la grande redoute est la seule des 5 redoutes prévues autour du village des Rousses qui a été achevée. Elle servit pour une bataille en juillet 1815, opposant 600 français à 12 000 Autrichiens. Une partie du village fut détruite. - Histoire et Patrimoine
Vue sur la Dôle
Le sommet de la Dôle, culminant à 1677 m d’altitude, se distingue aisément par l’énorme dôme situé à son sommet. Il s’agit d’un radar, protégé des intempéries, destiné à l’aviation de l’aéroport de Genève qui se situe au pied des Montagnes du Jura.
D’autres équipements au sommet font également de la Dôle une station météorologique de Météo Suisse et un centre de télécommunications important (télévision, radio …). Une table d'orientation complète les équipements pour les nombreux randonneurs qui effectuent son ascension pour bénéficier de son exceptionnel panorama. - Histoire et Patrimoine
Le Fort des Rousses
Le village des Rousses, dont l'emplacement géographique avait une valeur stratégique militaire importante, fut retenu dès 1800 par Napoléon Bonaparte. L'invasion des troupes autrichiennes en 1814 poussa à la fortification du village et, en 1841, la construction du fort fut votée et financée par le gouvernement. Le Fort des Rousses fut érigé de 1843 à 1862, et armé en 1868. Il devient alors l'un des plus vastes ensembles bastionnés français pouvant accueillir 3500 hommes et 2000 chevaux, avec 50 000 m2 de salles voutées, des kilomètres de galeries souterraines, 2,2 km de remparts... Il servit de camps d'entraînement à de nombreux régiments et de dépôt militaire jusqu'en 1973, où il est transformé en Camp d'Entraînement pour Commando (C.E.C.). Les militaires quittent le Fort des Rousses en 1997 avec la réorganisation des armées, il est alors reconverti en lieu d'activités (accrobranche, cave d'affinage à visiter...) et ouvert au public. - Faune
Quizz des fourmis
Avez-vous été attentif le long de ce sentier? Sauriez-vous répondre aux questions suivantes ?
1) Combien trouve-t-on d’espèces de fourmis dans le Jura ?
2) Qu’est-ce qui relie le thorax à l’abdomen ?
3) De quoi est composé la fourmilière ?
4) Quels sont les deux moyens de défense des fourmis ?
5) Quelle partie de la fleur mange la fourmi ?
6) Quels sont les différentes castes des fourmis ?
7) A quoi sert le prince ?
8) La fourmi, avant sa naissance, est-elle dans le ventre de la reine ou dans un œuf ?
Réponses:
1- 60 espèces sont présentes dans le Jura. 2- le pétiole. 3- de brindilles, de terre et d’aiguilles de sapins. 4- leurs mandibules et l’acide formique. 5- le nectar. 6- la reine, le prince et les ouvrières.
7- à féconder la princesse qui devient ainsi une reine après l’accouplement. 8- La fourmi est dans un œuf pondu par la reine. - Faune
Classification des fourmis
Les fourmis font parties de la classe des insectes. En effet, elles possèdent 6 pattes, un corps découpé en 3 parties (tête, abdomen, thorax), 2 antennes et 2 mandibules.
Il existe 12000 espèces de fourmis dans le monde entier. 213 espèces sont présentes en France et 60 dans notre Jura.
Les fourmis sont les animaux les plus nombreux sur Terre. On estime qu’il y a environ 10 millions de milliards d’individus vivants…. (10 000 000 000 000 000 000)
Observation : Vous pouvez apercevoir une fourmilière à droite du chemin avant l'intersection. - Faune
Cycle de vie
1. La reine ailée s’accouple avec le mâle ailé.
2. La reine pond des œufs. Une ouvrière les transporte dans une chambre.
3. Les œufs se sont transformés en larves. Les ouvrières s’occupent des larves.
4. Les larves se transforment en nymphe dans un cocon.
5. Une ouvrière s’occupe d’une nymphe qui va sortir de son cocon.
6. Selon la quantité de nourriture qu’elle reçoit, elle devient une reine ou une ouvrière.
Eléa, Emirhan, Olympe, Yann, Mathilde et Noa - Faune
Anatomie de la fourmi
Le corps des fourmis est composé de trois grandes parties : la tête, puis le thorax et l’abdomen reliés par le pétiole.
On retrouve chez toutes les fourmis ces trois parties ainsi que deux antennes, deux mandibules, deux yeux, six pattes. Les reines et les mâles ont des ailes.
Milan, Ugo, Solenne, Sarah et Simon
Observation : Vous pouvez observer 3 fourmilières autour du 3e grand épicéa. - Faune
Les fourmilières
La fourmilière est composée de brindilles, d’aiguilles d’épicéas ou de sapins et de terre. Ceci permet de l’isoler du froid, du chaud ou des pluies.
Les fourmis passent par des galeries pour circuler dans la fourmilière. Quelques soldats patrouillent près du nid en cas d’attaque.
Creusée dans la terre, le domicile des fourmis compte de nombreuses chambres ayant chacune leur usage : grenier à viande, grenier à graines, cimetière ou dépotoir, salle d’hibernation, chambre royale, crèche pour larves et nymphes, couveuse pour les œufs…
Noé, Abdelhakim, Eloïse, Ambre, Augustin et Loan
Observation : Vous pouvez apercevoir une fourmilière à gauche du chemin. - Faune
Les prédateurs de la fourmi
Les fourmis rousses des bois possèdent deux moyens de défense : leurs mandibules et la projection d’acide formique.
Leurs mandibules :
Avec leurs fortes mandibules, elles peuvent trancher les membres d’autres invertébrés ou pincer la peau d’un vertébré.
L’acide formique :
Elles peuvent projeter de l’acide formique à plusieurs dizaines de centimètres de distance (jusqu’à 50 cm)
Mais les fourmis ont plusieurs prédateurs. Sauriez-vous les deviner ?
1) Je suis un mammifère à la tête fine, au museau pointu, aux oreilles triangulaires et à la queue très touffue. Qui suis-je ?
2) Je suis un oiseau. Je peux être noir, vert ou épeiche. J’ai un long bec qui me sert à creuser. Qui suis-je ?
3) Je suis un petit oiseau passereau au chant très mélodieux qui me nourrit d’insectes comme les fourmis. Je suis de la couleur du charbon. Qui suis-je ?
4) Je suis un grand oiseau qui vit dans la montagne, dans les forêts de conifères. Je m’appelle aussi « Le grand coq de Bruyère ». Qui suis-je ?
5) Je suis un petit animal bas sur pattes, au pelage clair sur le dos, foncé sous le ventre, qui me nourrit de racines, de miel et de fourmis (surtout les larves). Qui suis-je ?
6) Je suis un petit animal au corps recouvert de piquants et je me mets en boule en cas de danger. Qui suis-je ?
Réponses : 1-le renard, 2-le pic, 3-la mésange noire, 4- le grand tétras, 5-le blaireau, 6-le hérisson
Observation : Vous pouvez apercevoir une foumilière quelques mètres derrière l'aupébine à droite. - Faune
Les castes des fourmis
Les fourmis sont divisées en plusieurs castes : la reine, le prince et les ouvrières.
Les ouvrières:
La plupart des fourmis forment la caste des ouvrières : des femelles stériles et sans ailes.
Elles sont chargées de l'entretien, de l'approvisionnement de la nourriture. Elles s'occupent aussi de la reine et des jeunes.
La reine:
La reine est la fourmi la plus importante de la fourmilière car c'est la mère de toutes les autres.
A sa naisssance, la reine a des ailes. Elle les perdra après l'accouplement. Sa morphologie rappelle celle des ouvrières mais elle est beaucoup plus grande!
La reine reste dans les galeries profondes pour pondre, pondre,...
Le prince:
Avec les reines, les mâles sont les seuls à posséder des ailes, mais ils sont beaucoup moins gros.
Chez les fourmis, le mâle a un unique rôle: il doit féconder la future reine (aussi appelé " princesse"). Après l'accouplement, il mourra d'épuisement.
Vous pouvez, maintenant, découvrir et écouter une jolie histoire écrite et racontée par les élèves de CE2.
Observation : Panorama du Mont Fier - Faune
Régime alimentaire de la fourmi
Au menu :
- beaucoup d’insectes ou autres petites bêtes : araignée, bourdon, limace, ver de terre, sauterelle…
- des gourmandises sucrées : miellat des pucerons, sève des arbres, myrtille, fraise des bois, nectar de fleurs…
- quelques graines et parfois des champignons.
Bon appétit!
Edouard, Romy, Mélinda, Issa et Zélie
Observation : Vous apercevez sur votre gauche les remparts du Fort des Rousses. - Histoire et Patrimoine
Le Pont Perroud
Le vieux pont Perroud, la cascade et les ruines de l’ancien moulin sont les témoins de l’importance que revêtait le besoin en énergie dans le Haut-Jura par le passé pour moudre, scier, battre le fer... - Histoire et Patrimoine
La force motrice des rivières
Les nombreuses ruines que vous croisez témoignent de l’intense activité qui régnait ici par le passé. En amont du Pont Perroud vous pouvez voir l’ancien barrage, et en aval la Chaille qui s’engouffre dans les gorges. Les ruines des barrages et moulins sont les témoins de la volonté des hommes de réguler la rivière et d’en exploiter l’énergie.
Dès le Moyen-Âge, les paysans du Haut-Jura se tournèrent vers le travail du fer, principalement la clouterie, en tant qu’activité complémentaire. Ce n’est pourtant qu’au XVIème siècle que cette activité commença à utiliser la force hydro-motrice des rivières pour développer la production. La plus ancienne concession de « décours d’eau » archivée par l’abbaye de Saint-Claude – qui louait les terres aux paysans – remonte à 1597, et mentionne un moulin situé sur le Bief de la Chaille.
Cependant, le débit parfois très variant des cours d’eau du Haut-Jura, souvent insuffisant pour actionner de grosses machines, ne permit pas par la suite l’essor d’une véritable industrie métallurgique comme dans le reste de la Franche-Comté. Sans compter que la raréfaction du bois due à sa surexploitation, qui semble difficile à imaginer quand on voit les forêts jurassiennes aujourd’hui, rendait le chauffage des forges plus difficile. - Faune
Le Lynx boréal
Le lynx est un félin, comme les panthères et les chats. Il peut peser jusqu’à 35 kg et mesure la même taille qu’un chien moyen. Il est présent dans la majeure partie du continent est-eurasien et peut vivre dans tout type de milieu, mais ce sont dans les forêts avec des sous-bois denses et couverts comme celles du Jura qu’il se sent le mieux.
Le lynx, à l’instar du guépard, est très rapide sur de courtes distances mais se fatigue vite. Pour cette raison, il approche ses proies en silence et passe à l’attaque le plus près possible. Il peut faire des bonds de cinq mètres et lorsqu’il attrape sa proie, il l’étouffe avec ses puissantes mâchoires. Ses proies favorites sont des petits ongulés, comme le chevreuil mais il doit parfois se contenter d’oiseaux et rongeurs.
Cet animal est très dur à observer car il ne se déplace quasiment que la nuit. La journée, il se perche dans un arbre ou se terre dans les buissons afin de se reposer et de voir sans être vu.
Le lynx boréal est revenu naturellement dans le Jura (suite à des opérations de réintroduction effectuées en Suisse). En 2015, la population française était estimée entre 125 et 150 animaux, la tendance étant à l’augmentation à la fois en nombre de lynx mais aussi en nombre de territoires occupés. Le Jura représente le noyau principal de population avec une centaine d’individus. - Histoire et Patrimoine
L’énergie hydraulique
Dans le Haut-Jura, la métallurgie existe depuis très longtemps, mais c’est avec l’utilisation de la force motrice des rivières que cette activité a pris une autre tournure au XVIe siècle. L’utilisation de cette énergie illimitée permit de passer de la petite production artisanale et familiale à l’industrialisation moderne. Mais capter l’énergie d’une rivière nécessitait quelques aménagements. Si la force du courant variait trop, il était nécessaire de la réguler en construisant un barrage. Ensuite, un canal devait être aménagé pour amener l’eau jusqu’à la roue à aube. Celle-ci était reliée par de nombreux mécanismes au marteau, à la scie ou aux autres machines. Ce travail demande l’expertise et la connaissance de nombreux corps de métiers, un savoir-faire révélateur de la grande qualification des hommes de l’époque qui devaient se débrouiller avec peu d’outils et nulle technologie. - Histoire et Patrimoine
L’énergie hydraulique
Dans le Haut-Jura, la métallurgie existe depuis très longtemps, mais c’est avec l’utilisation de la force motrice des rivières que cette activité a pris une autre tournure au XVIe siècle. L’utilisation de cette énergie illimitée permit de passer de la petite production artisanale et familiale à l’industrialisation moderne. Mais capter l’énergie d’une rivière nécessitait quelques aménagements. Si la force du courant variait trop, il était nécessaire de la réguler en construisant un barrage. Ensuite, un canal devait être aménagé pour amener l’eau jusqu’à la roue à aube. Celle-ci était reliée par de nombreux mécanismes au marteau, à la scie ou aux autres machines. Ce travail demande l’expertise et la connaissance de nombreux corps de métiers, un savoir-faire révélateur de la grande qualification des hommes de l’époque qui devaient se débrouiller avec peu d’outils et nulle technologie. - Histoire et Patrimoine
Les greniers-forts
Les fermes-blocs jurassiennes permettaient de stocker le fourrage pour le bétail et le bois de chauffage afin d’éviter de sortir durant l’hiver. Cette accumulation de matière combustible augmentait le risque d’incendies destructeurs. Pour limite les dégâts sur leurs possessions, les habitants construisirent des greniers-forts. En cas de guerre, ce bâtiment aux portes très épaisses et aux serrures imposantes servait aussi à protéger les biens précieux des attaques de pillards. Véritable coffre-fort d’extérieur, il contenait toutes les richesses de la famille et les choses indispensables à la vie d’un haut-jurassien. Généralement situé à quelques dizaines de mètres de la maison, sur un monticule rocheux, il était orienté de manière à ce qu’en cas d’incendie les vents dominants ne poussent pas les flammes dans sa direction. - Histoire et Patrimoine
La Cure, poste-frontière
230 kilomètres de frontières séparent (ou relient) l'Arc jurassien français de la Suisse. Le long de cette frontière, les fluxs migratoires, les allers et venues quotidiens des frontaliers sont une des composantes de la "culture frontalière". Propriété de l'État, la douane fut construite en 1933 par l'architecte Jacques Duboin. (source: PNRHJ - Collection patrimoine) - Histoire et Patrimoine
La principauté d’Arbézie
Après la guerre de 1870, deux propriétaires profitèrent de la confusion pour tirer avantage d’une maison construite à cheval sur la frontière. C’est au lieu-dit de La Cure (commune des Rousses) que se trouve cette maison insolite. En effet, deux entrées permettent d’accéder à la salle de restaurant : un côté français et un côté suisse qui débouchent dans la salle de la brasserie. Comme vous n’êtes pas passés par la douane vous n’êtes ni tout à fait en Suisse, ni tout à fait en France, vous êtes en "Arbézie". Ce lieu accueillit d’ailleurs plusieurs chefs d’état et fut le repère de Paul-Émile Victor durant de nombreuses années. - Histoire et Patrimoine
Histoire de la vallée des Dappes
La campagne d'Italie en 1796 - 1797 démontra à Napoléon Bonaparte la nécessité d'une communication française aussi rapide que possible entre Paris et le col du Simplon via Genève. Des négociations avec la Suisse permirent le tracé d’une route sur territoire français. A la chute de l'Empire, en 1815, les frontières de la France furent ramenées à celles d'avant 1790. Néanmoins, les deux pays prétendirent conserver la possession de la vallée des Dappes. En 1862, le différend fut résolu par le Traité des Dappes. La France se vit attribuer la partie sur laquelle était établie la route de la Faucille (aujourd’hui N 5). La Suisse reçu en compensation le reste de la vallée, auxquel s’ajoutait une partie du versant français du Noirmont. Dès lors, les maisons de La Cure qui avaient toujours été françaises, devinrent partiellement suisses. Certaines se trouvent aujourd'hui encore traversées par la frontière, possédant un pied en France et l'autre en Suisse. - Histoire et Patrimoine
Équipements au sommet de la Dôle
Le sommet de la Dôle, culminant à 1677 m d’altitude, se distingue aisément par l’énorme dôme situé à son sommet. Il s’agit d’un radar, protégé des intempéries, destiné à l’aviation de l’aéroport de Genève qui se situe au pied des Montagnes du Jura, et d’une station météorologique de Météo Suisse. D’autres équipements au sommet font également de la Dôle un centre de télécommunications important (télévision, radio …). - Sommet - Point de vue
Point de vue au sommet de la Dôle
Du côté Suisse, le sommet de la Dôle offre une vue plongeante sur le lac Léman, la ville de Genève, et au loin, les Alpes et l’emblématique Mont Blanc. Du côté France, c’est un panorama sur le village des Rousses, la vallée de la Valserine et les Montagnes du Jura qui vous attend. Depuis quelques années, une table d’orientation comble votre envie de repérer chaque sommet de l’arc alpin, de la Joungfrau à la Vanoise. - Faune
Le Bec croisé des sapins
Le Bec croisé des sapins est une espèce colorée vivant principalement en petites troupes. Cet oiseau nomade des forêts de conifères s’installe là où la fructification des épicéas est abondante, car il trouve sa nourriture principaledans les graines d’épicéas au cœur des cônes ou pives. Pour accéder à ces dernières, il s’accroche tête en bas sur le cône, passe son bec sous l’écaille puis ouvre ses mandibules pour l’écarter, pendant qu’il récupère les graines avec sa langue. Il commence par le bas du cône et remonte en spirale vers le haut. - Faune
Le chamois : le dromadaire des montagnes
Le Chamois à la capacité d’étancher sa soif grâce à l’eau contenue dans les plantes qu’il mange. Mais pour absorber une quantité d’eau suffisante, imaginez le nombre de plantes dont il doit ingérer! Le régime alimentaire du chamois se compose de plus de 70 espèces végétales. L’hiver, lorsque la végétation est moins abondante, il peut lécher la neige pour s’hydrater.
Description
Après avoir quitté la station des Rousses, il est temps de traverser la frontière Suisse pour commencer l’ascension de la Dôle (1677 m), après un passage dans les troupeaux d’alpage et au col de Porte, la crête s’offre aux randonneurs et offre une vue incroyable à 180° sur le lac Léman et la chaine des Alpes… Le Mont Blanc comme on ne l’a jamais vu !
C’est ce que l’on retiendra de cette étape sur l’un des plus hauts sommets de la chaine du Jura. Vient ensuite la descente sur la petite station Suisse de Saint-Cergue depuis la Barillette.
- Départ : Les Rousses
- Arrivée : Saint-Cergue
- Communes traversées : Les Rousses et Prémanon
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Pensez à vous munir de votre passeport en cas de contrôle des douanes à la frontière.
- En suisse, suivez le balisage pédestre jaune et référez-vous au Topoguides
Avant de partir, nous vous conseillons de lire la rubrique Conseils aux randonneurs, de vous équiper convenablement, de prendre de quoi vous ravitailler, de consulter la météo et de prendre un téléphone chargé. Dans tous les cas, ne surestimez pas vos forces.
Dans le Jura, les randonnées empruntent des chemins et sentiers dans des propriétés privées qui peuvent également servir à d’autres activités. Merci de respecter les lieux en restant sur les sentiers balisés et en respectant les autres usagers (randonneurs, vététistes, cavaliers, mais aussi exploitants forestiers, vignerons, bergers…).
Le Jura est un département nature et sauvage, merci de respecter l’environnement dans lequel vous évoluez : Ne jeter aucun détritus, ne faites pas de feu, ne cueillez pas les fleurs sauvages. Respectez la tranquillité du bétail et de la faune sauvage en restant éloigné des troupeaux, en tenant votre chien en laisse et en refermant les barrières derrière vous. Renseignez-vous sur les zones de protection de biotope, réserves naturelles ou zone Natura 2000 dans lesquelles des restrictions sont applicables.
En cas de travaux forestiers (abatage, débardage…), de travaux sur les sentiers (réfection de sentier, débroussaillage…) ou de zones de chasse en cours ou battue pour votre sécurité, sachez renoncer et faire demi-tour.
Lieux de renseignement
Jura Tourisme
17 rue Rouget de Lisle, 39009 LONS-LE-SAUNIER
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